Les commémorations nous rappellent notre devoir de mémoire et notre responsabilité vis à vis des jeunes générations: il ne s'agit pas simplement de déposer des gerbes au pied de mémoriaux mais d'expliquer les faits du passé pour mieux comprendre le présent et éviter que les mêmes horreurs se reproduisent.
Certaines municipalités
"oublient" ces temps forts (notamment la Journée nationale des
victimes de la déportation, le dernier dimanche d’Avril) et c'est à nous
citoyens de les interpeller et de les ramener devant leurs responsabilités.
Les événements de janvier
2015 ont posé la question cruciale : "qu'avons-nous fait pour en arriver
là?"
A tronquer l'Histoire, à
sous-estimer ses enseignements, à ne pas la raconter aux jeunes générations, à
ne pas transmettre l'héritage de nos aînés, c’est commettre une faute grave
dont le prix se paie déjà.
Exigeons des
commémorations de qualité et l'implication de nos élus, pour que celles et ceux qui ont connu les heures
sombres de notre Histoire n'aient pas honte de nous.
Demandons aux
enseignants, aux directeurs d’école, aux chefs d’établissements de prendre une
part active à ces journées commémoratives :
·
visant
à rassembler la communauté nationale
·
remettant
les valeurs républicaines et la laïcité au cœur de notre République
afin que les
jeunes d’aujourd’hui soient, plus tard, des citoyens à part entière.
Résister Aujourd'hui le 16 mars 2015
Résister
Aujourd’hui le 16 mars 2015
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